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Par aguyebua le 1 Décembre 2014 à 18:08
UN DIMANCHE A L’AÉROPORT DE LOME
Une scène s’est encore produite à Tokoin l’aéroport
Un lieu sûr où l’on croyait être en sécurité
Or tout est déroulé en une seconde comme un athlète à la télé
Et à peine ils sont arrivés en renfort
On se demande où sont ses frères armes
Qu’on prétendait être garant de la société
De tout un peuple même qu’on ne peut compter
Voilà ! L’on observe encore les yeux en larmes
Pourtant ses voix sont toujours à l’usage du Président
Au cours de ses va et viens
Même au cours des visites des Siens
Hélas ! Ils ne sont même pas inquiétés, ses délinquants
Et si ses Elites veulent réclamer leur droit
Par dizaines se débarquent-ils pour les chasser
Et dans les rues de Lomé, par centaines pour les gazer
Oh ! Ils sont même incapables d’accomplir leurs devoirs et droits
Quand j’entends ses balles retentir
Je disais être déjà au grand portail
Portail des fêtes où jaillissent des pétards et cocktails
Or à l’aéroport tout le monde n’arrivait plus à se maintenir
Ainsi la sécurité est en panne de contrôle
Une sorte de progression de la violence
De l’exaction et de la mauvaise gouvernance
Or tous juraient devoir accomplir avec sérénité leurs rôles
Ainsi ses citoyens encore tombent
Et plus de deux milliards de francs sacrifiés en un clin d’œil
Comme les murmures des moustiques aux oreilles
Imagine s’ils déclenchaient des bombes ?
Ils sont congratulés à l’extérieur
Comme forces d’une terrible ténacité
Or dans cette petite cité
A peine est leur intervention et même à l’intérieur…………….
AGUYEBUA K.ETONAM
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Par aguyebua le 1 Décembre 2014 à 17:55
JE NE PEUX PLUS LA SENTIR
Encore dans ma mémoire comme cette image
La Sainte face au Messager, l’Ange
Une fois sa rencontre, cette belle créature
Mes admirations allaient au Créateur de la nature
O ! Quelle bouteille ! A la bouteille ronde !
Qui ravageait invisiblement comme l’ouragan tout le monde
Nuits roses, jours blancs, temps où on chantait en chœurs
Temps des belles fleurs, années des beurres
Et maintenant que d’émoi ! Mon âme en larmes
Comme en temps de bataille, un militaire sans armes
Comme ces temps de grand amour, je ne veux plus l’aimer
Assez ! Comme des coups de hache, je veux cesser
Cesser à penser à elle, à penser à ses souvenirs
D’aurore au crépuscule, j’y pense à mon avenir.
AGUYEBUA K.ETONAM
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Par aguyebua le 27 Novembre 2014 à 19:24
L’ABUS
Au cours
D’un demi-siècle de parcours
Ses vautours, au jour le jour
Élaborent des affables discours
Jouent aux sourds
Tous veulent leur tour
Sans cesser et toujours
Sans recours, à la cours
Et cris au secours
Mon peuple en retour
AGUYEBUA K.ETONAM
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