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JE NE VEUX PLUS LA SENTIR
JE NE PEUX PLUS LA SENTIR
Encore dans ma mémoire comme cette image
La Sainte face au Messager, l’Ange
Une fois sa rencontre, cette belle créature
Mes admirations allaient au Créateur de la nature
O ! Quelle bouteille ! A la bouteille ronde !
Qui ravageait invisiblement comme l’ouragan tout le monde
Nuits roses, jours blancs, temps où on chantait en chœurs
Temps des belles fleurs, années des beurres
Et maintenant que d’émoi ! Mon âme en larmes
Comme en temps de bataille, un militaire sans armes
Comme ces temps de grand amour, je ne veux plus l’aimer
Assez ! Comme des coups de hache, je veux cesser
Cesser à penser à elle, à penser à ses souvenirs
D’aurore au crépuscule, j’y pense à mon avenir.
AGUYEBUA K.ETONAM
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