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CABINDA
CABINDA
Cabinda
Je me rappelle
Que de terreur ! Que d’horreur !
Au seuil de cette CAN là où nos éperviers
Au départ confiants et d’une immense joie
Leur désir de vouloir combattre pour son pays, têtes hautes.
Revenus tôt et égarés
Que de larmes et cœurs meurtris
Comme au temps des canons
Cabinda
Je me rappelle où
Une CAF garnie de corruption sans avoir pitié
Une institution qui à une justice à double vitesse
Et qui n’a même pas de cœur de les observer
Tombés comme des martyres armes en mains
De ABALO Amelete à O’CLOO Stan ou OBILAYE Kodjovi
Cabinda
Je me rappelle
Hélas ! Ses fautifs sans foi ni loi
Jouissent encore de leur forfait
Sans être inquiété
Je me rappelle
De Cabinda
AGUYEBUA K.ETONAM
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