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A TOI CHARLIE
Ton visage est accablé de larmes
Car ils t’ont dégarni de tes illustres figures
D’ancres multicolores qui émerveillaient tant d’âmes.
Hardiesse ! Des collègues avaient eu tant de ses piqures
Ils voulaient anéantir ton élan
Qui paisiblement avance à mille pas
Des actes diaboliques contraires aux écrits de coran
Qu’ils prônent. Or Mahomet n’avait jamais enseigné sur ses pas.
Charlie ! Charlie ! Charlie !
Cette horreur reflète vraiment ta valeur
Ton existence face à cette religieuse barbarie
Handicapant la liberté d’expression dans son essor
Or aucune religion n’a exhorté la terreur
Plutôt qu’aux discours d’amour très fort.
AGUYEBUA K. ETONAM
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J’ÉCRIRAI
J’écrirai
Vos noms un à un partout où je passe
Sur les murs, agenda, le sol, en l’air, j’écrirai
Et je dirai ce que vous êtes pour...Ses temps de souffrance
Où je me baignais et étiez-vous à mes cotés à tout instant
Je les écrirai dans le livre d’or et de diamant
Vous qui m’avez soutenu moralement
Pendant ses temps de désespoir
En m’ouvrant les yeux spirituellement
Pour que je puisse les congédier à la gloire
Tant que ses soupires me réaniment tous les jours
Je suis comblé par votre amour
J’écrirai, j’écrirai
Sans rancœurs mais avec gaité
Sur tous médias si possible vos projets que je publierai
Projets d’initiatives novatrices et de qualité
Pour l’élan de ses pays qui tardent encore
Mais garni d’ingrédients pour son essor
Je dirai au Seigneur de les écrire par sa plume d’or
En présence des anges qui chanteront en chœurs
Semblable aux victorieux médaillés en or
Bras sur le cœur comme l’heure de l’hymne des couleurs
Vous qui avez de belles intentions pour ses nations
Qui n’ayant de suffisantes ressources. Congratulation !
AGUYEBUA K.ETONAM
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JE SUIS CHARLIE POÈTE ARTISTE
Je suis Charlie Poète artiste
Semblable au Tisserand qui tisse
A travers ma plume d’ancre multicolore
Comme un peintre de son graffiti qu’il décore
Je suis artiste et j’écris
J’écris pour la gaité et d’alarmes cris
J’écris pour revivre des souvenirs
En mémoire des années pires
De bonheur et d’allégresse
J’écris pour bannir cette justice à double vitesse
J’écris pour ses jours avenir
Qui invisiblement réservent du rire
De larmes comme des crises
Sans ignorer des instants de surprises.
Pour dénoncer, j’écris, j’écris et encore
Même si tous ne sont jamais d’accord
J’écris pour sensibiliser
J’écris pour informer
J’écris pour moi
J’écris pour toi.
AGUYEBUA K.ETONAM
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IMAGINE
Imagine un orphelin qui a faim, à peine une tranche de pain
Mais donne du câlin à son prochain
Imagine si on a une possibilité de changer ce monde
De ses entraves qui surabondent, tout sera dans la gaieté profonde
Imagine ton épouse qui devient l’épouse,
D’un de tes pairs jus qu’avoir une coépouse
Où un parti au pouvoir garni de tout pouvoir
Va toujours vouloir faire valoir leurs avoirs
Même en étant aisé, pauvre ou manœuvre
Imagine tes bénédictions divines à travers tes œuvres
Imagine un opposant ayant d’insuffisants ingrédients
Pourtant plein de clients
Imagine un secret de cœur, même sans frayeur
T on confident devient un leurre
Imagine au moment d’un jugement,
Malgré l’innocence le statut familial freine l’acquittement
Imagine…….
AGUYEBUA K.ETONAM
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UN DIMANCHE A L’AÉROPORT DE LOME
Une scène s’est encore produite à Tokoin l’aéroport
Un lieu sûr où l’on croyait être en sécurité
Or tout est déroulé en une seconde comme un athlète à la télé
Et à peine ils sont arrivés en renfort
On se demande où sont ses frères armes
Qu’on prétendait être garant de la société
De tout un peuple même qu’on ne peut compter
Voilà ! L’on observe encore les yeux en larmes
Pourtant ses voix sont toujours à l’usage du Président
Au cours de ses va et viens
Même au cours des visites des Siens
Hélas ! Ils ne sont même pas inquiétés, ses délinquants
Et si ses Elites veulent réclamer leur droit
Par dizaines se débarquent-ils pour les chasser
Et dans les rues de Lomé, par centaines pour les gazer
Oh ! Ils sont même incapables d’accomplir leurs devoirs et droits
Quand j’entends ses balles retentir
Je disais être déjà au grand portail
Portail des fêtes où jaillissent des pétards et cocktails
Or à l’aéroport tout le monde n’arrivait plus à se maintenir
Ainsi la sécurité est en panne de contrôle
Une sorte de progression de la violence
De l’exaction et de la mauvaise gouvernance
Or tous juraient devoir accomplir avec sérénité leurs rôles
Ainsi ses citoyens encore tombent
Et plus de deux milliards de francs sacrifiés en un clin d’œil
Comme les murmures des moustiques aux oreilles
Imagine s’ils déclenchaient des bombes ?
Ils sont congratulés à l’extérieur
Comme forces d’une terrible ténacité
Or dans cette petite cité
A peine est leur intervention et même à l’intérieur…………….
AGUYEBUA K.ETONAM
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